Prénom : Julian. Patronyme : Alaphilippe. Surnom : Loulou. Âge : bientôt 30 ans. Profession : champion du monde. Trait de caractère principal : la joie de vivre. Julian Alaphilippe entame déjà en ce mois de janvier sa… neuvième saison au sein de la structure Quick Step. Sa dixième même, si on compte l’année 2013 disputée avec l’équipe bis de l’époque, Etixx-iHNed. Comme à son habitude détendu et souriant, malgré un enchaînement usant d’interviews, certaines en français et d’autres en anglais, lors du traditionnel " Media day " du Wolfpack, le puncheur s’est prêté avec nous au jeu ludique des questions " action-réaction ". Un mot, un nom… et une réponse, une réaction. C’est parti !
" Ah, ma compagne… ouais, c’est ma chérie tout simplement ! Je suis tellement content de l’aimer et d’avoir trouvé un tel équilibre avec elle. Elle m’apporte plein d’éléments, beaucoup de sérénité, de stabilité et surtout beaucoup… d’amour ! "
Nino
" Mon fils, l’amour de ma vie, mon p’tit ! C’est vraiment la plus belle chose qui me soit arrivée. Je suis très heureux d’être son papa. Je n’ai pas les yeux bleus comme lui mais il a un regard un peu malicieux comme moi ! "
Renaix
" J’y vis de temps en temps puisque j’y ai acheté un logement. J’aime bien. Quand je ne suis pas à Andorre (NDLR : où il est domicilié) ou sur les courses, ça me permet d’aller m’entraîner avec mon fidèle équipier Dries Devenyns. C’est une belle petite ville de Flandre. La Belgique m’a toujours plu, j’apprécie y passer du temps et ça me facilite la vie entre les voyages et les classiques pour éviter d’accumuler trop de fatigue. "
Armée
" J’ai passé deux saisons, en 2011 et 2012, dans l’équipe continentale de l’Armée de Terre française (NDLR : Aujourd’hui disparue). J’avais 18 ans quand j’ai intégré cette structure et je n’en garde que de bons souvenirs. C’était une superbe période pendant laquelle j’ai découvert ce que c’était de faire du vélo au quotidien. J’ai appris la cohésion avec les gars du groupe mais également la débrouille parce que je vivais à la caserne où j’ai fait mes classes. Ce qui ne me manque pas en revanche, c’est la coiffure… Désormais je peux me laisser pousser les cheveux ! "
Je ne sais pas si je suis physiquement capable de gagner le Tour de France. Mais oui, il est possible que je prenne une fois le départ avec l’objectif de viser le classement général. Dans ce cas-là, il faudra que j’apprenne à courir différemment, en étant plus dans le calcul, en gardant le plus d’énergie possible. Mais est-ce que ça va me plaire ?