"Par cette décision, les juges ont reconnu qu’il n’y avait plus de danger pour la sécurité publique", explique Me Sébastien Courtoy. "Jean-Louis Denis veut devenir apiculteur. Il vivra chez sa mère et ne compte pas se soustraire à la justice. Evidemment, le jour où il sortira, il ne pourra fréquenter aucune des communes comme Anvers, Vilvorde ou Molenbeek. Des communes d’où sont partis de nombreux djihadistes belges pour la Syrie."
Jean-Louis Denis restera encore en prison deux semaines. Ses avocats plaideront alors pour sa libération devant la chambre des mises en accusation. C’est elle qui décidera de libérer ou non Jean-Louis Denis.
Justine Katz