Bluffant de précision et de réalisme, ce que Cook affectionne particulièrement, c’est de recréer des peintures et des portraits célèbres de personnalités culturelles. Cela, entre autres, afin de prouver que "certaines technologies ne mourront jamais", dans une société archi-dominée par les réseaux sociaux.
Sa soif de création lui a d’ailleurs valu de nombreuses interviews et articles dans la presse anglophone ainsi qu’une interview dans le Kelly Clarkson Show aux Etats-Unis.
Pour la petite histoire, James a reçu sa première machine à écrire d’un couple de personnes âgées qui vendait des objets provenant de leur grenier poussiéreux. Souhaitant aller plus loin dans ses efforts et perpétuer cet hommage, il continue à agrandir sa collection de machines à écrire. Aujourd’hui, il ne compte pas moins de 50 modèles au sein de sa collection. Pourtant, "les machines à écrire sont si difficiles à obtenir", a déclaré Cook.
"Elles existent depuis bien plus longtemps que les ordinateurs, et toutes les personnes avec lesquelles je parle, qu’elles soient d’une ou deux générations plus âgées que moi, ont possédé une machine à écrire ou l’ont utilisée, mais il est si difficile de s’en procurer.
Je fais le tour des magasins de bric-à-brac, des boutiques de charité, et il est impossible de tomber sur eux parce qu’ils sont une antiquité ou que les gens les ont oubliés. Mais on peut toujours se procurer des rubans, heureusement."
En avril 2022, l’artiste lançait d’ailleurs une exposition de sa collection de machines et de dessins, dans la ville de Londres :