Le chargement rassemblait de la nourriture, du matériel médical pour soigner les blessés ou encore d'autres composantes. Le CICR a appelé à de nombreuses reprises ces derniers jours à des corridors humanitaires.
Certains de ses employés à Marioupol ont dénoncé des conditions inhumaines. L'organisation assiste notamment des dizaines de personnes dans cette ville où des centaines de milliers de personnes manquent de nourriture.