"Quiet quitting", "conscious quitting" ou encore "ressentéisme"... Tout cela serait lié à une accumulation de situations frustrantes, à en croire une nouvelle étude. Et cela toucherait davantage les jeunes, moins tolérants que leurs aînés face aux difficultés rencontrées quotidiennement dans le cadre du travail.
La crise sanitaire a rebattu les cartes du marché du travail, que ce soit en termes d'organisation avec la démocratisation du télétravail ou de quête de sens. Le phénomène a vu émerger de nouveaux termes, à l'instar du "quiet quitting", qui consiste à faire le strict minimum pour préserver sa santé mentale, du "rage applying", qui vise à postuler massivement à des offres d'emploi suite à une déception professionnelle ou encore du "ressentéisme", un néologisme traduisant le fait de ne pas pouvoir quitter un travail que l'on déteste, faute de mieux.
C'est justement l'objet d'une nouvelle étude menée par OpinionWay pour Indeed, qui s'est penchée sur les principales raisons qui poussent aujourd'hui les salariés à quitter leur travail.