Alors qu’à Kherson, cité symbole du sud reprise par Kiev, l’heure est au déminage et à la réparation des infrastructures, les pressions, explicites ou implicites, augmentent afin que les deux camps négocient. Car malgré les horreurs de la guerre, la diplomatie n’a jamais cessé d’œuvrer.
En coulisses, Etats-Unis, Chine, Turquie, Union européenne, Grande-Bretagne et autres puissances ont joué de leur influence afin d’infléchir les positions des belligérants. Le président Zelensky a d’ailleurs abandonné la destitution de Poutine comme condition préalable à toute négociation.
Par ailleurs, ce dimanche, Mykhailo Podolyak, conseiller de la présidence ukrainienne, a affirmé que la Russie sera prête à négocier la paix et à retirer ses troupes du pays après la libération de Donetsk et de Lougansk.