En dépit d’une détente des prix du blé après six mois de guerre en Ukraine, la situation pourrait "basculer de nouveau" sans montée en puissance des exportations de la mer Noire, a indiqué mardi le cabinet d’analyses Agritel (Argus Media France).
Au niveau mondial, "les stocks sont colossaux sur le papier, mais on est dans une situation de grande dépendance. La clé du marché reste la mer Noire", a affirmé Nathan Cordier, chef analyste chez Agritel, lors d’une conférence de presse.