Generation 21

Génération 21 : Asile

Asile

© Sharp 147

Un ouragan de décibels, un fracas d’instruments entrechoqués, une furie punk increvable "… Autant de promesses divinement tenues par le power trio Asile, composé de Thomas au chant et à la basse, de Chris à la guitare et de Makhno à la batterie.
 
Cela fait déjà un peu plus de dix ans que le groupe s’est fondé en terres hennuyères lors d’une chaude soirée d’été… Une centaine de dates dans notre Royaume et 4 tournées en France plus tard, Asile revient avec un 2e et nouvel album baptisé " Doux Jésus Quel Enfer ", composé depuis un petit coin de paradis pas si lointain... " L’avantage d’avoir des membres du groupe qui bossent dans le son, c’est d’avoir du matos au top et de pouvoir enregistrer tout nous-mêmes, à la maison, ce qui a ensuite été mixé par notre pote Iban. On a enchaîné avec une tournée en France, en en profitant pour revoir des potes plus vus depuis longtemps. Cet album a mûri pendant le Covid, que ce soit musicalement ou dans les textes, ce qui nous a permis de mieux travailler nos arrangements et d’élargir nos horizons musicaux. "
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Des talents belges inspirés par les classiques rock et pop, le mercredi à 22h05 dans Underground, sur Classic 21 !

Un horizon musical qui évolue sans cesse au gré des concerts et du line up d’Asile. La formule à trois existe depuis peu, et ils prennent un sacré plaisir à travailler les sons collectivement en intégrant l’ouïe et la griffe de leur ingé son. Alors que la préparation du prochain album est bien activée et qu’une série de jolis rencards avec la scène se profilent, Asile reste animer par l’envie de transmettre son amour pour la musique, en espérant donner à d’autres l’envier de composer : " Le but de notre musique est de partager notre plaisir, notre bonheur et goût pour celle-ci. Donner aux autres l’envie de se défouler, mais peut-être aussi de créer à leur tour. Elle permet de cracher notre haine sur certaines choses, sur des incompréhensions, des déceptions… Les textes sont un mélange d’histoires vécues, de revendications ou, comme on le dit dans l'une de nos chansons, tantôt des histoires drôles, tantôt moins drôles mais palpitantes. Le titre "Smile" parle d’une découverte facile de la drogue, sous toutes ses formes, et de l’addiction qu’on peut avoir grâce à la fête, à la musique… Cela parle d’une chute personnelle, d’une autodestruction perpétuelle qui est difficile à remonter… mais toujours possible si vous écoutez "Messenger", issu du même album ! "

 

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