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François Berléand : "J’ai fait ma carrière avec des 'non' de Dussollier"

François Berléand : "J’ai fait ma carrière avec des 'non' de Dussollier"

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Il est de retour sur les planches et sur grand écran, François Berléand nous fait l’amitié d’être notre invité dans Plan Cult, ce samedi soir.

Devenu l’un des visages incontournables du cinéma français, François Berléand a pourtant débuté sa carrière sur le tard. Attiré par le théâtre, c’est dans le secteur du commerce qu’il fait ses débuts. Abonné aux petits rôles, il ne se décourage pas et finit par rencontrer le grand public grâce au film "Mon idole", réalisé par Guillaume Canet en 2002. Adepte des personnages ronchons et des fortes têtes, il s’est fait une spécialité d’interpréter ses rôles avec une touche de comédie et d’humanité. Si le succès est aujourd’hui au rendez-vous, il plaisante encore en disant qu’il doit sa si belle carrière aux rôles refusés par André Dussollier.

Cette année, François Berléand nous revient au Centre culturel d’Auderghem, du 21 mars au 25 mars, dans la comédie dramatique d’Isabelle Le Nouvel, "88 fois l’infini" dont la trame est l’histoire rivale de deux demi-frères en voie de réconciliation.

On pourra également le retrouver au cinéma en mai dans le film de Delphine Lehericey "Last Dance", dans lequel il incarne le rôle principal d’un septuagénaire confronté au décès brutal de sa femme, qui décide d’intégrer un spectacle de danse contemporaine.

La démesure du Musée Wiertz

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Plan Cult vous invite à plonger corps et âme dans les œuvres monumentales du peintre belge Antoine Wiertz (1806-1865). Ce musée nous accueille dans la maison-atelier de l’artiste considéré comme une figure controversée du romantisme belge. Ce peintre, sculpteur et homme de lettres témoigne dans ses œuvres de sa fascination pour la fragilité de la vie humaine jusqu’à sa mort ainsi que sa soif de démesure avec des peintures monumentales.

Le musée Wiertz renferme une exposition permanente qui vous est ouverte gratuitement du mardi au vendredi.

Dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es…

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Nous suivons ensuite jusqu’au Japon la curiosité dévorante de Katherine Longly qui remet en question et en image notre rapport à la nourriture dans des sociétés où la pression sur le corps est excessive. Pour elle, manger n’est pas simplement une action technique mais aussi un plaisir, un moyen de réguler son stress, ou de socialiser. Son projet "To Tell My Real Intentions, I Want To Eat Only Haze Like A Hermit", a d’abord existé sous forme d’un livre d’artiste, avant de devenir une exposition à découvrir au Botanique jusqu’au 5 mars prochain.

L’alliance de l’art à la boxe

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Nous enfilons également les gants pour aller faire un tour sur le ring du MIMA. Jusqu’au 28 mai, ce musée va se transformer en temple de la boxe anglaise. Ici, cette discipline est accompagnée par une vision artistique, séance d’entraînement et portrait, peintures murales et matchs de gala s’entrecroisent jusqu’à devenir indissociables. L’évènement "Local Heroes" met aussi en valeur des jeunes pour qui la boxe est plus qu’un sport, un véritable mode de vie. Une ambiance sonore, visuelle et physique qui promet de ne pas être de tout repos, même pour les visiteurs les plus sportifs.

Les classiques de Camille : Orfeo de Monteverdi

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On retrouve Camille Thomas dont le cœur s’embrase pour l’Orfeo de Claudio Monteverdi. Cette pièce en cinq actes nous emporte dans un spectacle basé sur le mythe d’Orphie, un héros de la mythologie grecque, essayant de sauver sa femme, Eurycide, des Enfers. Orfeo a notamment marqué l’histoire de l’opéra par son refus d’utiliser la musique comme un simple appui des paroles. Ici, paroles et musique sont inséparables et accompagnent d’un même mouvement tant les moments tragiques que les instants de joie.

Avec cette fusion artistique, cet opéra de Monteverdi vous entraîne jusqu’au Namur Concert Hall, le 14 avril.

Le vidéaste plasticien Yannick Jacquet

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Notre coup de projo nous emmène sculpter la lumière aux côtés de l’artiste et vidéaste genevois Yannick Jacquet. Ayant grandi avec Internet, cet artiste décèle dans le numérique des possibilités de nouveaux développements artistiques. Ses installations associent trompe l’œil, collages, projections et jouent sur la répétition pour créer une forme de transe contemplative. "Ça va créer des petites bulles de temps autonomes dans lesquelles le regard du spectateur va pouvoir se balader" - Yannick Jacquet.

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