"Face au changement nous ne sommes pas tous égaux", affirme le spécialiste, qui différencie deux catégories.
"Une première englobe ceux qui sont optimistes, des personnes qui s'accommodent à toutes les situations." Que ce soit dans le cadre du travail ou personnel, ils vont voir le bon côté des choses et vont se projeter. Pour eux, le changement n'est pas un problème.
Pour la seconde catégorie, le changement sera plus difficilement acceptable. "Ils vont avoir du mal à aller de l'avant, ils peuvent s'enfermer dans le communautarisme."
Mais le coach ne se veut pas alarmant. "La zone de confort existe toujours mais résumer la vie à cette donnée serait biaisé et même plutôt triste, cela voudrait dire que l'on met le confort avant la liberté".
Pour sortir de ce "ras- le-bol-généralisé", le coach préconise de prendre le temps de réaliser des actions qui apportent du plaisir. Ce que le professionnel appelle "l'instinct de pulsion", un état physique qui amène un épanouissement, apporte de l'amour et qui peut être trouvé au quotidien.