Zelensky a déjà demandé à Macron que les Russes soient bannis des prochains JO, en raison de l'invasion déclenchée il y a près d'un an par Moscou.
Malgré les appels répétés de Kiev, le Comité international olympique pousse désormais les fédérations internationales à envisager leur participation "sous bannière neutre".
Selon le président français, la position du CIO "ne couvre pas la période des Jeux olympiques et des Jeux paralympiques qui se tiendront en France".
"C'est à l'été que nous aurons une clause de revoyure et que nous l'apprécierons en fonction des circonstances, et en fonction de ce qui se tient sur le terrain", a-t-il ajouté.
Prié de donner sa position en tant que président du pays hôte, il a répondu: "je vous le dirai au moment où il y a une clause de rendez-vous, je ne vais pas vous répondre aujourd'hui à une question ne qui se pose pas".
Depuis la réapparition du débat sur la présence ou non des Russes et Bélarusses à Paris, les divers protagonistes se renvoient la responsabilité d'une décision sur ce sujet.
Le CIO martèle que ce sont les fédérations sportives internationales qui demeurent "les seules autorités" régissant leurs compétitions aux JO. Les dites fédérations restent pour le moment silencieuses.