Le secrétaire d’Etat à la digitalisation, Mathieu Michel, a fait l’effort de s’exprimer en néerlandais lors de son audition devant les députés de la Chambre. Dans un extrait repris sur Twitter, le néerlandais est hésitant et, au nord du pays, certains n’ont pas hésité à le relever dans les commentaires sur les réseaux sociaux. Un exemple qui en rappelle d’autres.
Si certains hommes politiques francophones, dont certains ont exercé des fonctions ministérielles s’expriment couramment ou quasi couramment dans la langue de Vondel et sont capables de débattre efficacement avec leurs homologues du nord du pays ou d’être interviewés en néerlandais par les médias flamands, d’autres ont plus de difficultés, même après avoir pris des cours intensifs.