Belgique

Environnement et inondations : succès pour l'opération de plantation d'arbres et de haies en Wallonie

La ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, a fait de la plantation de haies et d’arbres un challenge capital de son mandat

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Planter 1 million d’arbres et 4000 km de haies pour la biodiversité, pour lutter contre les manifestations climatiques extrêmes, contre l’érosion des sols, pour fixer le CO²… En 2020, c’était l’ambition de la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier. A bientôt mi-législature, elle a fait le point.

"Yes, we plant", c’est le nom de cette opération qui a connu quelques adaptations depuis son lancement. L’initiative, au début, convainquait mollement. Alors la procédure a été simplifiée, les subsides augmentés et cela a porté ses fruits.

Petit coup d’accélérateur

En septembre dernier, la ministre tirait les premiers enseignements: après un an, le compteur affichait 500.000 arbres. Aujourd’hui, 6 ou 7 mois plus tard, dans un verger de Gesves, elle a annoncé 1327 km de haies et plus de 1,3 million d’arbres plantés ou en voie de l’être. A mi-législature, on n’est donc pas loin de la moitié du but. Et pour les arbres, il est déjà dépassé.

Les convaincus et quelques obligés

Dans les résultats engrangés, on prend bien sûr en compte les "obligés" comme la Sofico ou le SPW qui, le long des réseaux routiers ou des voies d’eau ont repiqué 72.000 plants. On imagine aussi que dans les villes et villages dévastés par les inondations, on s’est empressé de remplacer les saules et autres espèces qui fixent les berges. Mais indéniablement, l'opération a convaincu plus largement.

Il n’y a pas que les haies

"Yes, we plant" s’appuie sur un budget de 10 millions qui soutient aussi la plantation de vergers ou d’alignements. Une partie va à l’entretien des plants déjà en place. Il a fallu également structurer et soutenir une filière de production jusque-là sous-dimensionnée et qui obligeait à se fournir en dehors de la Région. Cet aspect-là n’est pas négligeable non plus. Il fallait ouvrir la voie, se réjouit la ministre. C'est fait !

Reportage dans notre 19h30 de ce vendredi :

"Yes, we plant", c’est le nom de cette opération qui a connu quelques adaptations depuis son lancement. L’initiative, au début, convainquait mollement. Alors la procédure a été simplifiée, les subsides augmentés et cela a porté ses fruits.

Petit coup d’accélérateur

En septembre dernier, la ministre tirait les premiers enseignements: après un an, le compteur affichait 500.000 arbres. Aujourd’hui, 6 ou 7 mois plus tard, dans un verger de Gesves, elle a annoncé 1327 km de haies et plus de 1,3 million d’arbres plantés ou en voie de l’être. A mi-législature, on n’est donc pas loin de la moitié du but. Et pour les arbres, il est déjà dépassé.

Les convaincus et quelques obligés

Dans les résultats engrangés, on prend bien sûr en compte les "obligés" comme la Sofico ou le SPW qui, le long des réseaux routiers ou des voies d’eau ont repiqué 72.000 plants. On imagine aussi que dans les villes et villages dévastés par les inondations, on s’est empressé de remplacer les saules et autres espèces qui fixent les berges. Mais indéniablement, l'opération a convaincu plus largement.

Il n’y a pas que les haies

"Yes, we plant" s’appuie sur un budget de 10 millions qui soutient aussi la plantation de vergers ou d’alignements. Une partie va à l’entretien des plants déjà en place. Il a fallu également structurer et soutenir une filière de production jusque-là sous-dimensionnée et qui obligeait à se fournir en dehors de la Région. Cet aspect-là n’est pas négligeable non plus. Il fallait ouvrir la voie, se réjouit la ministre. C'est fait !

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