Tout comme réduire les émissions de CO2, s'attaquer à la pollution générée par les aérosols pourrait contribuer au refroidissement de la planète et prévenir plus d'un million de décès prématurés annuels sur une décennie, estime une récente étude.
Réalisée par des chercheurs de l'université de Californie à San Diego (États-Unis), cette étude publiée dans la revue Earth's Future souligne l'urgence de prendre en compte la pollution aux particules solides ou liquides en suspension dans l'air, notamment celles issues des combustions fossiles comme le charbon ou le diesel.