"Parmi les 70 recommandations que nous avons formulées, il est frappant de constater que certaines d’entre elles ont déjà été formulées plusieurs fois ces dernières années, telles que la demande d’investissement accru dans la prévention et le dépistage, la nécessité de plans à long terme ou encore une meilleure intégration des données. Peu de choses ont été mises en place jusqu’à présent", déplore le professeur Annemans.
"Ce rapport constitue l’occasion, pour les décideurs politiques, de donner un nouvel élan à leurs actions en la matière", ajoute-t-elle.
Par ailleurs, aux côtés des recommandations figurent également de nouvelles propositions pouvant être mises en pratique rapidement, comme l’amélioration de la collaboration entre les professionnels de la santé et les patients.