Le projet international de fusion nucléaire Iter, qui vise à bouleverser la production d'énergie, va subir des retards qui restent à déterminer en raison de plusieurs pièces essentielles présentant un défaut, a indiqué son directeur général.
D'ores et déjà, la date de première production de plasma, indispensable à la fusion, initialement prévue pour 2025, ne pourra être tenue, a expliqué jeudi à l'AFP Pietro Barabaschi, nouveau directeur général. Il a été désigné en septembre à la tête de ce projet international de recherche qui rassemble sept partenaires: Chine, Corée du Sud, Etats-Unis, Inde, Japon, Union européenne et Russie.
Ces incidents auront également un impact financier.