Débat : Marc Tarabella en larmes après sa libération conditionnelle, ça vous fait quoi ?

Olivier, un auditeur de Rixensart, est intervenu à ce sujet sur notre antenne : "Ça m’a beaucoup ému. Il n’est jamais bon de voir un homme se faire humilier et pleurer comme un enfant. Ses larmes ne sont pas feintes, il y a une réelle émotion. Je suis directement entré en empathie avec lui, alors qu’avant ça, je trouvais que c’était un homme arrogant et antipathique. Maintenant, j’ai envie de le protéger. Ce n’était pas le bon moment, il n’était pas prêt à prendre la parole, ce n’était pas judicieux."

À Nivelles, Thomas nous partage son avis : "C'était du pur cinéma, c’est scandaleux. Il y a beaucoup de gens qui sont inculpés aujourd’hui mais personne n'a son audience. On ne sait pas ce qu’il s’est passé, mais les enquêteurs ne sont pas des amateurs. Ils ne vont pas mettre quelqu’un d’innocent en prison. Ça me met mal à l’aise pour les personnes qui n’ont pas son audience et qui sont en prison. Marc Tarabella doit préparer sa défense en silence, ça ne sert à rien de venir pleurer de cette façon."

Le débat se termine à Aywaille avec Gabriel : "J’ai fait 14 mois de préventive et j’ai été acquitté. La vie en prison est très dure, autant pour le prisonnier que pour la famille qui a été humiliée. Malgré tout, j'ai toujours une étiquette dans le dos : j’ai quand même fait de la prison et c’est difficile à vivre. À ma sortie, j’ai été très soutenu par ma famille, mais beaucoup d’amis m’ont tourné le dos. Ces 14 mois ont été la pire période de ma vie, c’était l’enfer. Marc Tarabella reste un homme, c’est normal de pleurer. Imaginez l’étiquette qu’il a dans le dos. Qui va encore lui faire confiance ?"

Nous vous invitons à poursuivre le débat sur notre page Facebook "C’est vous qui le dites" et à revoir l’émission sur Auvio. Nous vous donnons rendez-vous du lundi au vendredi de 9h à 10h30 sur VivaCité et La Une pour trois nouveaux débats.