La 33e Coupe d’Afrique des Nations se joue en janvier et février 2022 au Cameroun. L’organisation de la compétition est décriée en Europe. Un avis partagé qu’à moitié par Eby Brouzakis, qui lance son coup de gueule sur les stéréotypes balancés par certains.
C’est le tournoi qu’attend tout le continent africain : la CAN a débuté depuis le 9 janvier au Cameroun.
Après 8 jours de compétition, les critiques pleuvent, notamment sur l’organisation : une fin de match surréaliste avec un arbitre qui arrête et reprend deux fois le match avant la fin du temps réglementaire, des stades vides, du favoritisme dans les heures de match pour l’hôte de la compétition, un autre hymne diffusé à la place de celui de la Mauritanie…
Pour beaucoup de fans et d’observateurs, cette succession de bourdes désigne cette CAN comme l’une des pires de l’Histoire. Cependant, ces remarques manquent de mise en contexte. Si Eby Brouzakis comprend que la Coupe d’Afrique des Nations souffre à raison de certaines critiques, il fustige "les stéréotypes et les caricatures, parce que ce n’est jamais bon".