Sur fond de crise économique et énergétique, le secteur associatif se porte mal. Pour cause, les dons se font plus rares et sont moins importants. Pour certains, malgré les subventions des pouvoirs publics, le budget pourrait ne pas être à l’équilibre. Des asbl craignent même pour leur survie.
"Il nous reste quatre mois et on est à moins d’un cinquième de notre budget annuel espéré pour pouvoir sortir la tête hors de l’eau. Donc les temps sont très durs cette année", indique Antonella Liota, responsable des successions asbl La Lumière.
Mais disparaître est inenvisageable pour cette organisation qui offre son aide à plus de 1500 personnes aveugles et malvoyantes.