Dans un dossier du parquet fédéral, dirigé par un juge d’instruction bruxellois, ouvert depuis plus de quatre mois pour corruption, blanchiment et organisation criminelle, de nouvelles perquisitions ont eu lieu ce lundi après-midi.
L'objectif était de saisir les moyens informatiques de dix collaborateurs parlementaires, moyens qui étaient "gelés" depuis vendredi, avec l’appui des services de sécurité du parlement européen, afin d’éviter que des données nécessaires à l’enquête ne puissent disparaître, a indiqué le parquet fédéral dans un communiqué de presse.
Des perquisitions ont également eu lieu hier, dimanche 11 décembre, en Italie. "Une opération rendue possible par l’appui d’Eurojust", précise le parquet.