Une deuxième dose de rappel des vaccins actuels à ARN messager pourrait n’avoir qu’un "bénéfice marginal" contre les infections au Covid-19 chez les jeunes adultes en bonne santé, selon une étude israélienne publiée mercredi par le New England Journal of Medicine.
L’étude couvre environ 600 travailleurs de santé du centre médical Sheba, dont 270 ont reçu un second rappel des sérums Pfizer ou Moderna quatre mois après avoir reçu leur troisième dose. Le reste n’a reçu que trois doses de Pfizer.
D’une manière générale, la quatrième dose s’avère sûre et ramène le taux d’anticorps neutralisants, qui bloquent l’infection des cellules par le coronavirus, à son niveau d’après-troisième dose.