Coffee on the Rocks

Concours : une superbe guitare édition limitée Elvis à remporter sur Classic 21 !

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Par Classic 21 via

Du 20 au 24 juin dans Coffee on the Rocks, Raphaël Scaini vous offre, à l’occasion de la sortie du biopic Elvis ce 22 juin, une guitare en édition limitée !

Il s’agit d’une Songmaker DR-100 de la marque Epiphone. Selon un descriptif, c’est "la guitare acoustique d’Epiphone la plus vendue. Elle a le look, le son, et la qualité de fabrication que les joueurs et professionnels attendent d’une Epiphone".

Ce modèle colector est orné d’une décoration typique du King qui rappelle aussi l'affiche du film réalisé par Baz Luhrmann.

Ce dimanche dès 20h, ne manquez pas non plus sur Classic 21 notre émission spéciale Sunday 60’s autour d’Elvis animée par Jean-Paul Smismans.

Elvis : le film

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Elvis, c’est la vie et l’œuvre musicale d’Elvis Presley à travers le prisme de ses rapports complexes avec son mystérieux manager, le colonel Tom Parker. Le film explore leurs relations sur une vingtaine d’années, de l’ascension du chanteur à son statut de star inégalé, sur fond de bouleversements culturels et de la découverte par l’Amérique de la fin de l’innocence.

L’Américain Austin Butler, 30 ans, relève avec brio le défi d’incarner le "King" pendant deux décennies. Avec une sacrée performance : c’est sa voix qu’on entend dans les séquences où Presley chante.

Le Californien, également mannequin, apparu dans des séries Disney ou encore au cinéma dans "Once Upon a Time… In Hollywood" de Quentin Tarantino, est bluffant dans la reproduction des concerts en 1970 dans un palace de Las Vegas.

Il suffit de comparer avec "Elvis : That’s The Way It Is", documentaire réalisé cette année-là par l’Américain Denis Sanders. Presley a alors 35 ans et c’est déjà une énième relance de sa carrière, réussie cette fois. Il n’a plus que sept années à vivre mais tient encore la forme, loin du surpoids final, visage bouffi sous l’effet de l’alcool et des médicaments.

Car la trajectoire fulgurante du musicien du Mississippi n’a rien eu de linéaire, ce que retrace bien le biopic (sortie 24 juin aux USA, deux jours avant en France), seconde superproduction à Cannes hors compétition après "Top Gun : Maverick" avec Tom Cruise.

Le début a tout du conte de fées quand le Colonel Parker, manager venu du cirque et qui gère des stars de la country, repère ce gamin "blanc qui chante comme un Noir", comme le restitue le film. L’impresario mise sur ce showman né qui met en transe les spectatrices, bien avant les Beatles ou les Rolling Stones.

Tom Hanks, grimé, vieillissant sa voix, lesté artificiellement de la silhouette pachydermique du Colonel Parker, livre une prestation dont les Américains raffolent. Il excelle en manipulateur pour qui "show must go on" et les caisses doivent se remplir. Qui offrira le meilleur et le pire à son poulain.

Austin Butler brille en jeune Elvis aux premiers succès, hérissant par ses déhanchements l’Amérique puritaine des années 1950. Et qui voit rapidement ses illusions fracassées par une industrie musicale cynique.

Des épisodes méconnus du grand public sont bien exploités dans le biopic. Forcé à chanter avec un chien dans un show télé, mauvaise idée de Parker, Elvis lui rend la monnaie de sa pièce en se produisant tout de cuir noir vêtu pour un show TV de Nöel, loin des pulls à bonhomme de neige.

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