Tout ce qui vit, malheureusement, fini par mourir et les animaux de compagnie n’échappent pas à la règle… On s’y attache, il fait partie de nos quotidiens, de nos vies, de notre famille, une routine l’incluant s’installe et puis un jour, c’est le désarroi. Il n’est plus…
Une perte n’est jamais facile à vivre et peut être vécue de manière très différente en fonction des points de vue, de la personnalité et des situations de chacun.
Pour lui, cette situation est très difficile à vivre car son compagnon était le premier être à qui il parlait le matin et dernier avant de dormir. Son animal représentait une présence humaine à part entière, il doit donc réapprendre à vivre seul, ce qui est loin d’être simple.
Le rôle de l’entourage est très important pour assister le propriétaire. Pourtant, bien souvent, ceux-ci n’arrivent pas à comprendre son chagrin. "Ce n’était qu’un animal" certains diront, "tu savais à quoi t’attendre en l’achetant" d’autres surenchériront.
Bénédicte donne comme conseil aux personnes ayant dans leur entourage des personnes dans de telle situation, de prendre du recul, être compréhensif, empathique, de respecter la peine de l’autre et de ne surtout pas se moquer de lui.
La mort d’un animal peut-être planifiée pour le soulager ou établie au préalable, pour cause de maladie, par un vétérinaire. On n’y pense pas souvent mais pour eux aussi, il s’agit d’un évènement compliqué à vivre.