Cette semaine, d’autres voix politiques s’étaient fait entendre en faveur de cette mesure cette semaine. A l’instar du ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet (MR). Ou encore du vice-Premier ministre Georges Gilkinet (Ecolo) qui pointait notamment les troubles d’apprentissage que pouvait engendrer le bout de tissu.
"Il nuit à l’apprentissage qui passe aussi par la lecture des émotions de l’instituteur/rice, la lecture sur les lèvres. Je pense que cela a des conséquences sur les élèves les plus fragiles", expliquait-il sur le plateau de "QR le débat" ce mercredi.
Accalmie sanitaire
Ces assouplissements interviennent sur fond d’amélioration des conditions sanitaires. "On est dans la décrue, on le voit aussi au niveau des hôpitaux", commentait sur le plateau de Déclic Leïla Belkhir, cheffe de l’unité infectiologie aux cliniques universitaires Saint-Luc de Bruxelles.
Le porte-parole interfédéral Steven Van Gucht est également allé dans ce sens lors du point presse hebdomadaire de Sciensano ce vendredi matin. "Le pic de la cinquième vague est clairement derrière nous", a-t-il indiqué.