Il s’est donc inspiré de son propre vécu du milieu musical, mais aussi de celui d’autres grands chanteurs qu’il connaît bien, et qui ont parfois eu un parcours sinueux.
"Quand j’ai commencé l’industrie musicale, j’ai croisé des Higelin, comme un grand frère, des Lavilliers, comme un grand frère, Thiéfaine, comme un grand frère, Charlélie Couture pareil. Et ils m’ont parlé de tout ça, de leur arrivée : tout le monde les attendait, et puis après tout se calme un petit peu, puis on revient et on repart. J’adore les chanteurs qui ont des vies qui ne sont pas lisses. Je me méfie des chanteurs qui, quand on les regarde à la tv, on se dit "waw, ça, c’est le beau-fils idéal ! […] J’en ai vu qui traitaient mal leurs assistants, et qui étaient à la tv pendant trois minutes, très souriants, et tout le monde les adoube et les adore. Et juste après ils deviennent odieux."
L’artiste n’hésite pas à attribuer ses propres chansons, celles qu’il a vraiment écrites et composées, à son personnage. On se souvient évidemment de son tube "C’est quand le bonheur", qui a véritablement lancé la carrière de Cali auprès du grand public.
"Cette chanson m’a permis d’aller voir le monde, et je suis tellement heureux de la chanter. Mais parfois, pour rigoler, en concert je dis "Vous savez les enfants, si vous voulez faire un tube, répétez 48 fois la même chose. C’est comme ça que ça marche !", mais non, s’il y avait une recette ce serait trop facile, et ce serait trop dommage."
Cali interprète "C’est quand le bonheur" dans D6bels On Stage, c’était en 2012 déjà :