" L’hymne d’une femme "
Oeuvre du chanteur Otis Redding, la version de " Respect " chantée par Aretha Franklin était une façon de lutter contre les discriminations raciales subies par les Afro-Américains durant la Ségrégation. " C’était […] l’hymne d’une femme, un cri de bataille, un mantra ", expliquait alors Aretha Franklin.
Mais, pour elle, le respect était une valeur universelle, inhérente à la condition d’être humain. " Tout le monde veut le respect, tout le monde a besoin de respect. Les plus jeunes comme les plus âgés, les hommes, les femmes, nous voulons tous le respect et nous voulons tous être valorisés. "