Les autorités ont immédiatement attribué cette explosion, survenue dans l'ancienne capitale birmane, à un groupe de rebelles d'une ethnie minoritaire, comme la Karen National Army, opposée au régime depuis soixante ans.
L'explosion de mercredi est intervenue au moment où les autorités birmanes ont entamé des pourparlers en vue d'un cessez-le-feu avec plusieurs groupes de rebelles, dont la Karen National Army.
Belga