" Battlekart ce sont des courses effrénées pleines de rebondissements qui vont susciter des émotions, des sensations chez les participants ... On propose aux joueurs de venir s’éclater dans la bonne humeur et de ressortir en ayant envie de rejouer encore et encore. Moi-même je suis à plus de 600 parties jouées, on ne s’en lasse pas ", ajoute le jeune ingénieur.
Pour varier les plaisirs, l’équipe a développé 5 petits jeux qui testent tantôt l’habilité, tantôt les réflexes et la stratégie des joueurs. Un 6e est en préparation. " Il y a notamment un jeu où vous devez colorer un maximum de cases avec votre kart, un autre qui s’inspire du jeu auquel on a tous joué sur notre gsm Nokia, le snake... Vous pouvez aussi jouer au football avec votre kart, il y en a vraiment pour tous les goûts ".
Côté sensations, un aspect non négligeable fait aussi le succès de Battlekart : vous ne ressortez pas du kart avec une quelconque douleur au dos ou ailleurs. " On travaille avec des algorithmes de prédictions pour éviter les accidents trop violents. On peut toujours faire des pointes de vitesses et se percuter mais tout est calculé pour que le choc ressenti n’ait pas lieu avec plus de 5km/h de différence entre les deux karts ", ajoute-t-il.
Ce loisir s’adresse donc à tous les âges (dès 1m45) et surtout à tous les genres : " Battlekart ça s’adresse aux familles, aux amis et aux entreprises. Les groupes d’amis, ce sont autant les groupes de filles, de garçons, ou les groupes mixtes. Les entreprises c’est autant les incentives, que les teambuilfing. On d’ailleurs des produits spécifiques en fonction des besoins ", ajoute-t-il.
La franchise s’étend hors de nos frontières à un rythme effréné : après des ouvertures à Marche-en-Famenne, Metz, Kortrijk... un centre devrait prochainement ouvrir à Gand mais aussi en Allemagne.
Vous avez votre ceinture ? Prêt ? Partez !
Plus d’infos : https://www.battlekart.com/fr/