Tensions électroniques et mélodies rassurantes au piano, c’est la spéciale touch d’Augustin Fievet. Il sortait en avril dernier son excellent premier EP intitulé "Lens Flare for the Dead Astronaut" et partage en exclusivité avec Jam. son premier clip éponyme. À cette occasion nous avons pu discuter quelques instants avec l’artiste namurois. Rencontre avec un futur poids lourd de la scène néo-classique à l’imagination débordante.
Salut Augustin, peux-tu présenter en quelques mots et nous expliquer un peu ton parcours ?
Alors, je suis Augustin Fievet et j’ai commencé la musique il y a bien quinze ans maintenant en jouant sur la guitare d’un pote. Il me l'a fait essayer et j’ai trouvé ça magique de pouvoir produire du son et d’organiser l’espace avec un instrument. Ça a été un coup de foudre. Après cela, j’ai bidouillé sur plein de logiciels et touché un peu à tout. J’ai démarré avec la basse que j’ai rapidement abandonnée. J’habitais dans un petit village et je n’avais personne pour jouer avec moi (rires). Le piano quant à lui est venu naturellement. J’écoutais beaucoup Superpoze à l’époque. Il avait sorti un album mélangeant musique électronique et piano et ça m’a fort marqué. À partir de ce moment précis, je n’ai rien lâché et j’ai joué du piano tous les jours pendant 6 ans. Voilà comment tout a débuté.
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