Au Maroc, depuis septembre 2021, des centaines d'anciennes étudiantes témoignent sous le hashtag #MeTooUniv. Elles rapportent des faits de violences sexistes au sein des universités, notamment des professeurs qui abuseraient de leur position de pouvoir pour imposer des relations sexuelles.
Fin de l'impunité
Si les jeunes femmes refusent, les professeurs concernés n'hésiteraient pas à compromettre leur réussite. Certaines femmes ont expliqué avoir arrêté leurs études face à ce chantage.