"Les malfrats délaissent volontiers les grands magasins, les petits commerces ou encore l'Horeca pour se concentrer sur des cibles plus faciles comme les pompistes ou encore les pharmacies", qui enregistrent, elles, une progression de 10% au cours des six premiers mois de 2012, souligne Sudpresse.
"Ce phénomène s'explique par plusieurs facteurs, à commencer par les heures d'ouverture", pointe Vincent Vanderkelen, analyste stratégique à la police judiciaire fédérale.
Ce type de criminalité concerne l'ensemble des arrondissements judiciaires en Belgique, avec toutefois une concentration plus élevée pour l'arrondissement de Charleroi.
Belga