Standard de Liège

Arnaud Bodart satisfait du point glané à Gand : "Quand ça ne va pas, il faut revenir aux bases…"

Arnaud Bodart satisfait du point glané à Gand : "Quand ça ne va pas, il faut revenir aux bases…"

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Fortement déplumé pour son périlleux déplacement à Gand, le Standard a fait le gros dos pendant 90 minutes pour arracher le point du partage (1-1). Et si certains regretteront sans doute le peu d’opportunités créées par des Liégeois inoffensifs, dans les rangs rouches on se satisfait de l’attitude du soir. C’est en tout cas ce qu’on comprend au travers des dires d’Arnaud Bodart, interviewé par Pierre Deprez.

"Pour nous, c’est un bon point oui" clame-t-il d’entrée. "On s’est créé peu d’occasions mais on a bien défendu face à une équipe qui a mis beaucoup d’envie, qui récupérait vite malheureusement (rires) et qui était très offensive. Mais c’est un bon point au vu de nos derniers matches."

Interrogé sur l’attitude des troupes liégeoises, Bodart s’est montré très satisfait : " S’il y a des progrès ? Ah oui, clairement. Quand ça va moins bien, il faut revenir aux bases de temps en temps, savoir défendre en équipe, tous ensemble. Se battre les uns pour les autres. C’est ce qu’on a fait aujourd’hui. Maintenant, on a une petite pause avant de rejouer. J’espère qu’on va continuer comme ça."

Défendre à 11, des consignes du coach Delia ?

Reste à voir quelles étaient les consignes du coach Ronny Deila. Défendre à 11 pour espérer prendre un point ? Oui et non. "Les consignes ce n’était pas de prendre un point. On veut toujours marquer un but mais bon, il fallait qu’on retrouve notre état d’esprit, notre bloc et qu’on soit une équipe conquérante. Et bon, au final, je ne sais pas s’il y a pénalty mais… voilà. Cela aurait été un hold-up si on avait marqué ? Oui mais c’est la beauté du foot."

Bodart n’a pas pu passer à côté d’une question sur les nouveaux (ou anciens) bannis, Selim Amallah et Nicolas Raskin, mis de côté par la direction. Des évictions du noyau qui font du mal au moral du groupe ? "Au début, ça fait quelque chose, oui. Ce sont des personnes avec qui on est tous les jours. Mais bon, il faut faire son job, il y a des décideurs plus haut, on est sur le terrain pour faire notre boulot" conclut-il laconiquement.

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