Elle est devenue l’icône de la lutte des jeunes pour la préservation du climat, suite à ses grèves scolaires en 2018. L’an dernier, elle faisait à nouveau grand bruit en se rendant à Glasgow en marge de la COP26, qu’elle a qualifié d’"échec" à son issue (on se souvient tous de la "punchline" du "bla-bla-bla").
Cette année, Greta Thunberg sera-t-elle présente à la COP27, qui débutera dans quinze jours à Charm el-Cheikh ? "Non" a-t-elle répondu au cours d’une interview accordée à nos confrères de la BBC cette semaine. "On n’a pas besoin de moi là-bas. D’autres personnes venant de régions plus touchées par le réchauffement climatique vont s’y rendre, et je pense que leur voix a plus d’importance", a ajouté la jeune activiste.